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jeudi 26 juin 2025

jacques halbronn Psychosociologie du métier d'avocat

jacques halbronn Psychosociologie du métier d'avocat L'avocat est un chercheur dont le temps est compté, facturé. Ce qui en fait un chercheur stipendié de second ordre. D'une part, parce qu'il a une mission de résultat au sens qu'il doit délivrer un propos sur commande et d'autre part, parce qu'il est bridé dans ses investigations par une certaine forme de cupidité inhérente à sa profession. On parle de ses "clients" mais on pourrait aussi se référer à ses employeurs. Quelle est donc sa déontologie?. On lit sur le web: "L’avocat doit faire preuve de prudence, pour ne pas conseiller à son client, une solution s’il n’est pas en mesure d’apprécier la situation décrite, de déterminer à qui ce conseil ou cette action est destiné, d’identifier précisément son client. Lorsqu’il a des raisons de suspecter qu’une opération juridique pourrait avoir pour résultat la commission d’une infraction, il doit s’efforcer d’en dissuader son client. S’il n’y parvient pas il doit se retirer du dossier. (Article 1-5 « Devoir de prudence» du Règlement Intérieur National de la profession d’avocat ) Selon nous, le bâclage des dossiers est le risque principal. Faute de temps. On peut se demander si l'avocat ne peut être accusé de complicité de tentative de spoliation du fait qu'il ne signale pas les pièces appropriées, faute de ne pas les avoir demandées à son employeur à moins qu'il n'ait pas jugé souhaitable de les mentionner. Que penser d'un avocat qui aura joint, sans s'en rendre compte, à son dossier des pièces compromettant la position de son employeur? Ce dernier a-t-il un recours? JHB 26 06 25